MAI NGUYEN
Mai Nguyen est née en 1964 à Saïgon. Sa famille a fui le Vietnam pour le Canada en 1975. Elle a étudié le stylisme, la gestion du tourisme et la création littéraire à l’Université Concordia de Montréal. Elle a été styliste et maquilleuse. Son travail a été présenté dans de nombreuses campagnes publicitaires et magazines.
RIEN DE BEAU SUR LA GUERRE
📚 En librairie au Québec le 4 août, et le 6 octobre en France !
RIEN DE BEAU SUR LA GUERRE, un témoignage sur la guerre du Vietnam de Mai Nguyen, avec la collaboration de l’écrivain Patrick Froehlich!
ISBN 9782924397596
'UN PETIT RÉCIT EMPREINT D’UNE DOUCE NOSTALGIE ET TENDREMENT RACONTÉ."
Jacques Lanctôt, Le journal de Montreal
Top 10
Biographies 2022!
Coup de Coeur!
CRITIQUES
« Voici [l'histoire] de Maï Nguyen, la benjamine d’une famille de huit enfants, dont le père et la mère sont nés au Vietnam du Nord. Près de 50 ans plus tard, Maï essaie de se rappeler, acceptant, comme elle dit, la subjectivité de ses souvenirs et appelant à la rescousse la mémoire de ses frères. […] La jeune Vietnamienne a fui son pays en guerre, mais les terribles images de cette guerre la poursuivront longtemps. […] Elle s’intégrera rapidement sans jamais perdre le goût de son pays. En 1998, 23 ans après son installation à Montréal, Maï retourne au Vietnam. Elle retrouve les odeurs et couleurs de son enfance, les flamboyants odorants, les bougainvilliers aux « fleurs de papier ». Malgré son intégration au Québec, le Vietnam ne la quittera jamais, tout comme l’horreur de la guerre. Voici un petit récit empreint d’une douce nostalgie et tendrement raconté. »
Jacques Lanctôt, Le journal de Montréal
"Le 30 avril 1975, jour de la chute de Saïgon, Maï Nguyen fuit le Vietnam avec sa mère et ses sept frères. Elle a dix ans. Dans Rien de beau sur la guerre, elle refait le chemin parcouru de son enfance dans la ville de Da Nang à sa vie d’aujourd’hui et révèle tout ce qui n’a pas été dit."
EDP
Maï Nguyen, ayant quitté le Vietnam le 30 avril 1975, a pu enfin briser le silence…le récit fragmenté de celle qui avait une dizaine d’années au moment de la traversée des boat people remonte douloureusement le fil du temps, parfois avec l’aide de témoignages de membres de sa famille. Même si certains événements, les plus simples comme les plus traumatiques, demeurent flous dans son esprit, Maï Nguyen analyse avec lucidité le passé ainsi que ce qui la rattache à sa terre natale et à son pays d’adoption. Un devoir de mémoire où la résilience l’emporte sur la rancoeur.
Manon Dumais, Le Devoir
Ce livre m’a beaucoup émue puisqu’il est écrit sans artifices et sans romance. On sent très souvent l’autrice à fleur de peau, on sent qu’on est, ici, dans un processus de guérison. Les boat people ont été nombreux à être accueilli au Canada, mais on ne se préoccupe pas assez de leur histoire, ce qu’a dû être la difficulté de tout abandonner et de recommencer. Je recommande fortement la lecture de ce magnifique et déchirant récit.
Page par Page.com…… Valérie Ouellet